jeudi 1 avril 2010
Partageons-nous les 500 FCFA avec ceux qui sont plus proches ?
« Un jour, un homme revenant du travail très tard, fatigué et agacé, trouva son fils de 5 ans, à l’entrée de la porte.
- Papa, je peux te poser une question ?
- Qu'est-ce que c’est ? Répondit l’homme.
- Papa, combien tu gagnes par heure ?
- Ce n'est pas ton problème. Pourquoi une question pareille ? Répondu l’homme, d’une façon agressive.
- Je veux juste savoir. S’il vous plaît combien vous gagnez par heure ?
- Tu sais quoi ? Je gagne 500 FCFA par heure.
- Ah... Répondit le garçon, avec sa tête vers le bas. Papa, prête-moi seulement 250 FCFA...
Le père était furieux.
- C’est pour cette raison que tu demandais cela ? Penses-tu que c’est comme ça que tu peux obtenir de l'argent pour acheter des jouets ? Vite au lit dans ta chambre. Je travaille durement chaque jour pour tels enfantillages ?
Le garçon restant silencieux, entre dans sa chambre et ferme la porte. L'homme assis devient de plus en plus nerveux sur les questions de l'enfant. Comment ose-t-il poser ce genre de questions juste pour gagner de l’argent ?
Une heure plus tard, l’homme se ressaisit et se dit : Peut-être qu’il avait vraiment besoin d’acheter quelque chose avec ces 250 FCFA et après tout ce n’est pas dans ses habitudes. L’homme alla à la chambre du gamin et ouvrit la porte.
- Tu dors, mon fils ? Demanda l’homme.
- Non, papa, je suis éveillé, répondit le gamin.
- Je pense, que j’ai été trop dur pour toi mon fils ? J’ai eu une journée très dure, à tel enseigne que je me suis déchargé sur toi. Voici les 250 FCFA que tu as demandés.
Le petit tout souriant...
- Oh, merci papa ! S’écria-t-il.
L’homme a vu que le gamin avait de l’argent, et commença à se fâcher de nouveau.
Le garçon comptait son argent doucement, puis regarda son père.
- Pourquoi voulais-tu plus d’argent si tu en avais déjà ?
- Papa, parce que je n’en avais pas assez. Répondit le gamin.
- Papa, maintenant j’ai 500 FCFA. Puis-je acheter une heure de ton temps ? S’il te plaît arrive demain une heure avant à la maison... J’aimerai dîner avec toi.
Le père a été brisé. Il a mis ses bras autour de l’enfant et a demandé pardon...
C'est juste un petit rappel à tous ceux qui travaillent dur dans la vie. Nous ne devons pas la laisser filer entre les doigts sans avoir passé un temps, ou une partie de ce temps avec ceux qui en ont vraiment le besoin, ceux qui sont proches de notre cœur. N'oubliez pas de partager ces 500 FCFA – la valeur de votre temps avec quelqu'un que vous aimez.
Si on meurt demain, la société pour laquelle nous travaillons, pourrait facilement nous remplacer dans les prochaines heures. Mais la famille et les amis que nous avons laissé derrière nous sentirons la perte pour le reste de leur vie... »
lundi 4 mai 2009
Rendez-vous pour la suite
La migration est en cours... Rendez-vous sur mon profil Doctissimo pour la suite.
Je ferme donc les commentaires ici pour les ouvrir là-bas (vous ne serez pas trop dépaysés). A très bientôt. ;)
lundi 27 avril 2009
Faites des gosses !
Nous avons vu il y a quelques temps les 10 commandements pour nous préparer à devenir parents. Le métier a parfois du mal à rentrer et la patience est mise à rude épreuve...
C'est qu'ils ont de la ressource, nos chers bambins ! J'aime particulièrement la dernière page du diapo...
Le petit Nicolas - Les dangers de la nicotine
Le petit Nicolas et deux de ses copains discutent de leur père qui fume:
Le 1er dit :
- Mon papa avale la fumée et la rejette par le nez.
Le 2eme dit :
- Le mien l'avale et la rejette par les oreilles.
Alors Nicolas prend la parole :
- Et bien le mien est plus fort, il l'avale et la rejette par le derrière.
- Impossible, répondent les autres.
Le lendemain le petit Nicolas arrive à l'école, et sort de son cartable un caleçon de son père, qu'il exhibe devant le nez de ses camarades.
- Et ça, ce n'est pas des traces de nicotine ?
(Attention fumer peut vous faire mourir de rire)...
Presto
posté le 06/01/2009 à 23:19:21 par dieurdieuf
Voici un petit court-métrage reçu dans ma boîte mail.
A visionner avec les tous petits.
Dédicace pour les instits
posté le 15/11/2008 à 22:38:13 par dieurdieuf
C'est l'histoire d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde...
Un des gamins lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler. Après avoir poussé, tiré, re-poussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le gamin dit :
"Elles sont à l'envers, maîtresse".
La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il y a eu inversion des pieds...
Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre, mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds. Et là, le gamin lui dit avec toute la candeur qui caractérise les enfants :
"C'est pas mes bottes".
A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas s'emporter, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant... Comme le gamin voit bien qu'il a contrarié as maîtresse, il ne répond pas. Elle dit alors :
"Bon, allez, on les enlève." Et elle se met à nouveau au boulot.
Le deuxième pied est presque sorti quand le gamin poursuit :
"C'est pas mes bottes, c'est celle de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".
Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re-re-mettre ses bottes. L'opération est enfin terminée et la maîtresse se sent soulagée d'avoir réussi. Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :
"Où sont tes gants ?".
Et Le gamin de répondre Le plus simplement du monde :
"Je les ai mis dans mes bottes."
Merci à Lisamarina
mercredi 22 avril 2009
Amour, Richesse et Succès
posté le 17/07/2008 à 22:46:00 par dieurdieuf
Ceci est une petite histoire à toucher le coeur de chacun de nous et à nous permettre de savoir faire nos choix dans la vie.
Un jour, une femme sort de sa maison et voit trois vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. Elle ne les reconnaît pas.
Elle leur dit :
- "Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez avoir faim, s'il vous plaît, entrez et je vous donnerai quelque chose à manger."
- "Est-ce que les enfants de la maison sont là ?" Demandent-ils.
- "Non, ils sont sortis." Leur répond-elle.
- "Alors nous ne pouvons pas entrer."
En fin d'après-midi, lorsque les enfants reviennent de l'école, la femme leur raconte son aventure avec les trois hommes.
- "Va leur dire que nous sommes à la maison et invite-les à entrer !" Disent-ils à leur mère. La femme sort et invite les hommes à entrer dans la maison.
- "Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison." Répondent-ils. Un des vieillards explique :
- "Son nom est Richesse." Dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre,
- "Lui c'est Succès, et moi je suis Amour."
Il ajoute alors :
- "Retourne à la maison et discute avec ta famille pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison."
La femme retourne à la maison et rapporte à sa famille ce qui avait été dit.
- "Comme c'est étrange !" S'exclament les enfants.
- "Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse !"
La mère n'était pas d'accord.
- "Pourquoi n'inviterions-nous pas Succès ? Votre père en aurait bien besoin dans ses affaires..."
La plus petite, Raffie, qui suçait encore son pouce, s'exprime à son tour :
- "Veux mamours, veux mamours..."
Les parents fondent devant tant de câlinerie enfantine et la mère sort inviter Amour à entrer... Amour se lève et commence à marcher vers la maison. Les deux autres se lèvent aussi et le suivent..
Etonnée, la femme demande à Richesse et Succès :
- "J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi ?"
Les vieillards lui répondent ensemble :
- "Si vous aviez invité Richesse ou Succès, les deux autres d'entre nous seraient restés dehors, mais vous avez invité Amour et partout où il va, nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la Richesse et du Succès."
MON SOUHAIT POUR TOI QUI ME LIT...
Où il y a de la douleur, je te souhaite la paix.
Où il y a le doute en toi, je te souhaite une confiance renouvelée.
Où il y a la fatigue ou l'épuisement, je te souhaite la compréhension, la patience et la force...
Où il y a la crainte, je te souhaite l'amour et le courage.
Maintenant tu as le choix.
1. Supprimer ce message.
OU ...
2. Inviter l'amour en partageant cette histoire avec tous ceux dont tu te soucies. J'espère que tu choisiras le point 2. C'est ce que j'ai fait pour toi,
parce que pour que le bonheur existe, il faut le partager...
LA VALEUR D'UNE PERSONNE
SE MESURE TOUJOURS
AU BONHEUR QU'ELLE DONNE AUX AUTRES
Pour vous préparer à devenir maman / papa
Les 10 commandements
1. Enfilez un peignoir et fixez-vous un sac rempli de haricots sur le ventre. Au terme des neuf mois, ôtez seulement 10% de son contenu, filez chez le pharmacien, videz votre portefeuille sur le comptoir et invitez-le à se servir. Ensuite, allez au supermarché et demandez que votre salaire soit automatiquement viré sur le compte du magasin.
2. Pour avoir un aperçu de vos futures soirées, arpentez le salon de 17 à 22H en portant un sac humide pesant entre 4 et 6 kgs. A 22h posez le sac, réglez votre réveil à minuit et allez vous coucher. A minuit, relevez-vous et marchez à nouveau dans le salon avec le sac pendant une heure. Réglez le réveil à 3h… Impossible de fermer l’oeil, bien sûr, alors relevez-vous à 2h et servez-vous un verre. Retournez au lit à 2h45. Quand le réveil sonne, un quart d’heure plus tard, debout ! Chantez des berceuses dans le noir jusqu’à 4h. Réglez le réveil à 5h. Levez-vous, préparez le petit déjeuner. Maintenez ce rythme pendant 5 ans… dans la joie et la bonne humeur !
3. Evidez un melon et percez dans la peau un petit trou de la taille d’une balle de golf. Suspendez-le au plafond avec une ficelle. et faites-le balancer de gauche a droite. Prenez un bol de bouillie, bien liquide, et essayez de nourrir le “melon” toujours en mouvement, en jouant à l’avion - :-))) - avec une cuillère. Continuez jusqu’à ce que le bol soit à moitié vide ; versez le reste… sur vos genoux… bravo ! vous savez maintenant faire manger un bébé !
Pour avoir une idée de ce qui se passera lorsqu’il commencera à marcher, étaler de la confiture sur le canapé et sur les rideaux ; dissimuler un bâtonnet de poisson surgelé derrière la chaîne Hi-fi et laissez-le là un mois ou deux…
4. Habiller les tout-petits n’est pas une partie de plaisir. Commencez donc par acheter une pieuvre et un filet à provisions : essayez de glisser la pieuvre dans le filet sans qu’aucune tentacule ne dépasse… temps prévu : la matinée…
5. Dites adieu à votre cabriolet au profit d’un break. Mais n’espérez pas garder la voiture propre et étincelante comme au premier jour. Les familiales ne sont jamais propres et étincelantes. Achetez donc une glace à la vanille et oubliez-la dans la boite à gants. Puis enfoncez une pièce de cinq francs dans le lecteur de CD ou de cassettes. Ecrasez un paquet entier - familial, bien sûr - de biscuits au chocolat sur les sièges arrières. Enfin, rayez chaque côté du véhicule à l’aide d’un râteau. Là… parfait !
6. Préparez-vous à sortir. Attendez une demi-heure à la porte des toilettes. Sortez de chez vous. Rentrez. Ressortez. Rerentrez. Ressortez et dirigez-vous vers la voiture. Revenez sur vos pas. Puis allez à nouveau jusqu’à la voiture. Marchez sur le trottoir très lentement pendant cinq minutes. Inspectez minutieusement le moindre mégot de cigarette, bout de chewing gum, mouchoir en papier, insecte mort… Refaites le même chemin en sens inverse. Vous n’en pouvez plus d’attendre ? Criez-le jusqu’à ce que vos voisins viennent tous à la fenêtre. Très bien : désormais, vous savez ce que c’est de partir en promenade avec le petit…
7. Allez au supermarché en emmenant ce qui se rapproche le plus d’un enfant en bas âge - une chèvre adulte, de préférence - Si vous avez l’intention d’avoir plusieurs enfants, prenez plusieurs chèvres. Faites vos courses sans les perdre de vue et payez tout ce qu’elles auront cassé ou dévoré…
8. Apprenez le nom de tous les héros favoris des enfants. Le jour où vous vous surprendrez à chanter une chanson des Minikeums dans votre bain, c’est bon, vous aurez gagné votre titre de parent !
9. Répétez tout ce que vous dites au moins cinq fois.
10. Une dernière recommandation : avant de faire des enfants, allez voir tout d’abord des amis qui en ont déjà. Critiquez abondamment leur méthode d’éducation, leur manque de patience ou d’autorité. Permettez-vous aussi de donner des conseils sur l’heure du coucher, le pot, les bonnes manières à table, etc.. En un mot, aidez-les à résoudre leurs problèmes, et profitez-en bien…
C’est la dernière fois de votre vie que vous détiendrez les solutions.
Merci à Shaara_ pour l’histoire.







